Marc-Antoine Camirand, porte-couleur du GP3R à l'occasion du Grand Prix Électrique de Pau, a été contraint à l'abandon lors de la seconde manche du weekend.
Camirand, qui disputait dans les rues françaises sa première course européenne en carrière grâce au soutien des organisateurs du Grand Prix de Trois-Rivières, avait terminé quatrième lors de la première manche.
Bien qu'il visait le podium lors de la revanche, le Canadien a été contraint à l'abandon.
« J’ai laissé l’intérieur à [Franck Lagorce, à qui je disputais une position] dans la première courbe mais à l’entrée de la deuxième il s’est rabattu sur moi au point de m’envoyer sur le trottoir puis dans le mur », raconte Camirand.
« La suspension des Andros Car est fragile et elle n’a pas tenu le coup suite à l’impact. C’est fâchant mais c’est la course. »
Le recordman du GP3R n’est pas le seul à avoir terminé l’épreuve dans les gradins – seulement cinq des 12 voitures au départ ont rallié l’arrivée –.
C’est finalement la vedette locale Mike Parisy qui a triomphé.
« Je suis très heureux d’avoir vu que je pouvais tenir mon bout avec de bons pilotes français », ajoute Camirand.
« Je suis aussi content d’avoir vu le Grand Prix de Pau de mes yeux. Ça ressemble beaucoup au Grand Prix de Trois-Rivières et je sais maintenant que les voitures électriques pourraient bien paraître chez nous. »
Source: Grand Prix de Trois-Rivières
Camirand, qui disputait dans les rues françaises sa première course européenne en carrière grâce au soutien des organisateurs du Grand Prix de Trois-Rivières, avait terminé quatrième lors de la première manche.
Bien qu'il visait le podium lors de la revanche, le Canadien a été contraint à l'abandon.
« J’ai laissé l’intérieur à [Franck Lagorce, à qui je disputais une position] dans la première courbe mais à l’entrée de la deuxième il s’est rabattu sur moi au point de m’envoyer sur le trottoir puis dans le mur », raconte Camirand.
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| L'Andros Car Evo 2 toute électrique que pilotait Marc-Antoine Camirand dans les rues de Pau (Photo: Grand Prix de Pau) |
« La suspension des Andros Car est fragile et elle n’a pas tenu le coup suite à l’impact. C’est fâchant mais c’est la course. »
Le recordman du GP3R n’est pas le seul à avoir terminé l’épreuve dans les gradins – seulement cinq des 12 voitures au départ ont rallié l’arrivée –.
C’est finalement la vedette locale Mike Parisy qui a triomphé.
« Je suis très heureux d’avoir vu que je pouvais tenir mon bout avec de bons pilotes français », ajoute Camirand.
« Je suis aussi content d’avoir vu le Grand Prix de Pau de mes yeux. Ça ressemble beaucoup au Grand Prix de Trois-Rivières et je sais maintenant que les voitures électriques pourraient bien paraître chez nous. »
Source: Grand Prix de Trois-Rivières