Le groupe Volkswagen a vendu 10,3 millions de véhicules en 2016, une hausse de 3,8 % par rapport à l’année précédente, ce qui lui permet de détrôner Toyota au premier rang mondial. General Motors arrive troisième, suivie de très près par l’Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi.
Ce sont principalement les marchés de l’Asie-Pacifique (9,7 %) et de l’Europe (4 %) qui ont contribué à cette réussite, notamment au cours du dernier mois de l’année. Les ventes en Amérique du Nord n’ont augmenté que de 0,8 %, tandis que celles en Amérique du Sud ont reculé de 24,6 %, rien de moins.
« L’année 2016 a été très exigeante pour nous. Nous avons fait des progrès pour régler la crise du diesel tout en amorçant un virage fondamental avec notre stratégie 2025 qui préparera Volkswagen pour l’avenir de la mobilité », a déclaré Matthias Müller, chef de l’exploitation du groupe Volkswagen.
En 2017, dit-il, encore plus d’efforts seront consacrés aux technologies de demain, incluant les véhicules électriques et autonomes. Une nouvelle marque appelée MOIA a aussi été lancée en décembre dans le but de redéfinir la mobilité pour les personnes en milieu urbain. Cette compagnie indépendante basée à Berlin ne se voit pas comme un fabricant automobile, mais plutôt comme un fournisseur de services sur demande axés sur les nouvelles technologies, par exemple le covoiturage et l’autopartage.
Mais revenons aux produits, car durant la prochaine année seulement, près de 60 nouveaux modèles, dont une dizaine à motorisation électrique, seront lancés par les 12 marques que possède le groupe (Volkswagen – voitures et véhicules commerciaux, Audi, Porsche, SKODA, SEAT, Bentley, etc.).
Chez nous, il faudra surveiller plus particulièrement les 2 plus récents ajouts à la famille Golf, c’est-à-dire la familiale Golf Alltrack et la seconde génération de la e-Golf 100 % électrique, ainsi que le Tiguan réinventé à empattement allongé et son grand frère, le tout nouveau Volkswagen Atlas.
Ça promet!