Même si la Mercedes-Benz Classe E et ses rivales chez BMW et Audi ne cessent d’évoluer, la révision de 2010 ne change rien à la guerre que se livre la troïka de berlines sport allemandes depuis des années.
La dernière génération de la Classe E (W211) nous fut offerte au Canada pour les années modèles 2003 à 2009. C’est un V6 de 3,2 litres et 221 ch qui partait le bal, relié aux roues arrière par une boîte automatique à cinq vitesses « Touch Shift », une belle façon de dire « avec mode manuel ». En option, un V8 de 5 litres et 302 chevaux jumelé à la même boîte et relié aux mêmes roues.
Après un certain temps, une version familiale est venue se joindre à la Classe E, ainsi qu’un moteur diesel, une transmission intégrale et deux variantes à haute performance, les E55 et E63 AMG. Vers la fin de son cycle de vie, la Classe E a vu son éventail de groupes motopropulseurs bonifié d’un V6 de base de 3,5 litres et 268 ch et d’un V8 de 5,5 litres survitaminé frôlant les 400 chevaux. On a modifié les noms en conséquence : E350 et E550. Une boîte automatique à sept vitesses est également entrée en jeu, tout comme un nouveau moteur de base de 3 litres et 228 ch.
Notez que la désignation numérique des modèles de Classe E se rapporte au moteur. Les modèles V6 étaient baptisés E300, E320 et E350, tandis que les modèles V8 se nommaient E500 et E550. Les versions diesel affichaient la mention « CDI » ou « BLUETEC », et les modèles à transmission intégrale « 4MATIC ». Par ailleurs, aucune Classe E 4MATIC BLUETEC n’a vu le jour.
L’acheteur d’une Classe E d’occasion peut s’attendre à tout le tra la la : sièges électriques en cuir chauffants, système de navigation, changeur CD, clé intelligente, interface Bluetooth, alouette! On y trouvait aussi une suspension pneumatique, un toit ouvrant ainsi qu’un volant et des sièges à mémorisation.
Comme on pouvait s’y attendre, la plupart des propriétaires de Classe E se sont laissé séduire par sa réputation, son prestige, son luxe, son espace, son raffinement et son confort global. Ses performances quatre saisons et la fidélité à la marque y ont également joué un rôle. Les plaintes courantes concernent la conduite plus brusque que prévu de certains modèles ainsi que des pneus d’origine « bon marché ».
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| Mercedes-Benz Classe E 2003 (Photo: Mercedes-Benz) |
La dernière génération de la Classe E (W211) nous fut offerte au Canada pour les années modèles 2003 à 2009. C’est un V6 de 3,2 litres et 221 ch qui partait le bal, relié aux roues arrière par une boîte automatique à cinq vitesses « Touch Shift », une belle façon de dire « avec mode manuel ». En option, un V8 de 5 litres et 302 chevaux jumelé à la même boîte et relié aux mêmes roues.
Après un certain temps, une version familiale est venue se joindre à la Classe E, ainsi qu’un moteur diesel, une transmission intégrale et deux variantes à haute performance, les E55 et E63 AMG. Vers la fin de son cycle de vie, la Classe E a vu son éventail de groupes motopropulseurs bonifié d’un V6 de base de 3,5 litres et 268 ch et d’un V8 de 5,5 litres survitaminé frôlant les 400 chevaux. On a modifié les noms en conséquence : E350 et E550. Une boîte automatique à sept vitesses est également entrée en jeu, tout comme un nouveau moteur de base de 3 litres et 228 ch.
Notez que la désignation numérique des modèles de Classe E se rapporte au moteur. Les modèles V6 étaient baptisés E300, E320 et E350, tandis que les modèles V8 se nommaient E500 et E550. Les versions diesel affichaient la mention « CDI » ou « BLUETEC », et les modèles à transmission intégrale « 4MATIC ». Par ailleurs, aucune Classe E 4MATIC BLUETEC n’a vu le jour.
L’acheteur d’une Classe E d’occasion peut s’attendre à tout le tra la la : sièges électriques en cuir chauffants, système de navigation, changeur CD, clé intelligente, interface Bluetooth, alouette! On y trouvait aussi une suspension pneumatique, un toit ouvrant ainsi qu’un volant et des sièges à mémorisation.
Comme on pouvait s’y attendre, la plupart des propriétaires de Classe E se sont laissé séduire par sa réputation, son prestige, son luxe, son espace, son raffinement et son confort global. Ses performances quatre saisons et la fidélité à la marque y ont également joué un rôle. Les plaintes courantes concernent la conduite plus brusque que prévu de certains modèles ainsi que des pneus d’origine « bon marché ».
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| Mercedes-Benz E 55 AMG 2004 (Photo: Mercedes-Benz) |