Je l’admets cependant, j’ai rapidement été séduit par la position de conduite et le confort des sièges, qui nous permet de nous sentir bien entouré et soutenu, peu importe les conditions de conduite. Idem pour notre voisin de droite. Par contre, les passagers arrière devront faire quelques compromis sur l’espace pour les jambes, car après tout, c’est une compacte!
Un petit mot pour préciser que notre version d’essai, une GT, s’équipait de l’ensemble des accessoires de série comme l’antidérapage. Mais ce sont aussi des accessoires de confort, comme la climatisation bizone et la connectivité Bluetooth, qui la distinguent de ses consœurs d’autres déclinaisons.
Vous avez dit Vroum!
Ce qui a toujours caractérisé les Mazda, c’est d’abord le plaisir de conduite. On le sait, la compagnie japonaise tente de conserver son titre de grand maître du Vroum-Vroum et en général, y parvient assez bien.
Dans le cas de la Mazda3, on a encore une fois bien réussi. Il faut dire que le petit moteur de 2,5 litres placé sous le capot, avec ses vaillants 167 chevaux, répond avec aisance et fougue quand on le sollicite.
Vous aurez compris qu’il ne s’agit pas d’une voiture de course, malgré que la motorisation est plus que suffit plus qu’amplement pour rendre toute velléité de conduite un peu plus sportive possible. La boîte de vitesse bien étagée et la direction précise viennent aussi contribuer à ce plaisir de conduite.
En fait, les reproches réels à formuler à la Mazda3 se font rares. On peut bien lui reprocher sa visibilité déficiente vers l’arrière, ou une tendance à la consommation un peu trop élevée pour un véhicule de sa taille, mais là s’arrêtent les défauts.
Car en matière de conduite, Mazda a tout mis en œuvre pour procurer une voiture amusante avec une tenue de route irréprochable. Suspensions un peu fermes bien qu’agréables en toutes circonstances, châssis rigide, barres antiroulis de grande taille, bref, on a fait de la Mazda3 une des compactes les plus solides en trajectoire... peu importe la trajectoire empruntée.
Conclusion
On me reprochera peut-être de privilégier la conduite sportive et dynamique, je plaide coupableest vrai. Toutefois attention, ce genre de conduite n’est pas synonyme de danger sur la route. Il plutôt équivaut davantage à une bonne dose de sensations dès que l’on prend le volant. Et de ce point de vue, malgré quelques défauts, la Mazda3 domine encore dans son créneau.
Difficile à battre, cette vieillissante Mazda3!
Un petit mot pour préciser que notre version d’essai, une GT, s’équipait de l’ensemble des accessoires de série comme l’antidérapage. Mais ce sont aussi des accessoires de confort, comme la climatisation bizone et la connectivité Bluetooth, qui la distinguent de ses consœurs d’autres déclinaisons.
Vous avez dit Vroum!
Ce qui a toujours caractérisé les Mazda, c’est d’abord le plaisir de conduite. On le sait, la compagnie japonaise tente de conserver son titre de grand maître du Vroum-Vroum et en général, y parvient assez bien.
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| Un petit mot pour préciser que notre version d’essai, une GT, s’équipait de l’ensemble des accessoires de série comme l’antidérapage. (Photo: Mazda) |
Dans le cas de la Mazda3, on a encore une fois bien réussi. Il faut dire que le petit moteur de 2,5 litres placé sous le capot, avec ses vaillants 167 chevaux, répond avec aisance et fougue quand on le sollicite.
Vous aurez compris qu’il ne s’agit pas d’une voiture de course, malgré que la motorisation est plus que suffit plus qu’amplement pour rendre toute velléité de conduite un peu plus sportive possible. La boîte de vitesse bien étagée et la direction précise viennent aussi contribuer à ce plaisir de conduite.
En fait, les reproches réels à formuler à la Mazda3 se font rares. On peut bien lui reprocher sa visibilité déficiente vers l’arrière, ou une tendance à la consommation un peu trop élevée pour un véhicule de sa taille, mais là s’arrêtent les défauts.
Car en matière de conduite, Mazda a tout mis en œuvre pour procurer une voiture amusante avec une tenue de route irréprochable. Suspensions un peu fermes bien qu’agréables en toutes circonstances, châssis rigide, barres antiroulis de grande taille, bref, on a fait de la Mazda3 une des compactes les plus solides en trajectoire... peu importe la trajectoire empruntée.
Conclusion
On me reprochera peut-être de privilégier la conduite sportive et dynamique, je plaide coupableest vrai. Toutefois attention, ce genre de conduite n’est pas synonyme de danger sur la route. Il plutôt équivaut davantage à une bonne dose de sensations dès que l’on prend le volant. Et de ce point de vue, malgré quelques défauts, la Mazda3 domine encore dans son créneau.
Difficile à battre, cette vieillissante Mazda3!
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